lundi 26 janvier 2015

Une première réflexion

On nous a dit de commencer à explorer la plateforme Blogger et réfléchir à des concepts pour la chronique du 200e. Étant en deuxième année et n'étant donc pas obligée d'aller à une sortie avec les étudiants et étudiantes de première année, on m'a assigné le bloc « affaires ». Je dois dire que je n'étais pas particulièrement emballée, ma brève rencontre avec le monde des affaires et des finances s'étant arrêtée au marketing à mon emploi. Bon, ce n'est donc pas trop ma tasse de thé, mais je peux quand même y mettre des efforts... Cela ne doit pas paraître quand la fille écrit son billet de blogue la veille de la vérification, hein (salut, Geneviève)? Il faut dire que je me suis sentie un petit peu inspirée en lisant mon texte de philosophie. Ce n'est pas quelque chose qu'un étudiant dira à tous les jours. Notre texte portant sur la politique d'Aristote, j'ai donc droit à du machisme de première classe. Aristote disait que les femmes étaient au même niveau que les esclaves. Qu'elles n'étaient pas faites pour diriger. Qu'elles ne pouvaient pas, dans l'ordre naturel des choses, êtres maîtres. Ça, ça m'a choqué. Pis « pas à peu prés » comme on dit en bon français. C'est donc à cause d'Aristote et de mes frustrations féministes que j'ai choisi (si quelqu'un de mon équipe n'en fait pas de même) d'aborder les femmes dans l'entreprenariat et les affaires. Comme il existe à Drummondville, associé avec la SDED (je crois), une branche dédiée aux femmes d'affaires, je crois que je devrais être en mesure d'aller chercher des informations directement à la source et écrire une chronique ayant de la crédibilité. Je réussirai ainsi à vaincre les pensées d'Aristote et mon aversion pour les finances en un travail scolaire. C'est fantastique!